L'EROUV DE JERUSALEM
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L'EROUV DE JERUSALEM

"J'ai demandé à des habitants de Jérusalem, israéliens et palestiniens, de m'emmener dans un lieu public ayant, à leurs yeux, un caractère privé."
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"J'ai demandé à des habitants de Jérusalem, israéliens et palestiniens, de m'emmener dans un lieu public ayant, à leurs yeux, un caractère privé." "Selon la Loi juive, pendant le Shabbat, journée qui dure du vendredi au coucher du soleil au samedi après l'apparition des deux premières étoiles (...), le repos absolu est obligatoire pour les croyants (...). L'interdiction de travailler inclut celle de porter un quelconque objet (...) hors de chez soi. Toutefois, si l'on se réfère à la Torah, un village, une ville, entourés d'un mur d'enceinte avec des portes, sont considérés comme des domaines privés, et dans ces villages, ces villes, chacun peut transporter des objets de chez soi à la rue, de la rue à chez soi... Somme toute, la ville devient le domicile. Mais à notre époque, peu de cités modernes sont entourées de remparts et par conséquent chacun devrait contenir ses activités dans sa maison s'il n'était aujourd'hui accepté que, telles des dérogations à la Loi, des erouvim soient construits. Ils consistent en fils (ou cordes) formant un mur imaginaire. Dans la plupart des cas, ces "frontières" sont créées en érigeant des poteaux et en les connectant ensemble par l'intermédiaire de filins en acier galvanisé (...). Selon la Torah, dans toute ville entourée d'un erouv, le domaine public peut être considéré comme un territoire privé." (Extrait)
Référence
274273766
Auteur
Calle Sophie
Editeur
Actes sud
Pages
72 p.
Format
19 x 10 cm
Reliure
Broché
Illustration
illustrations en noir et blanc
Date de parution
3/1/2002
ISBN
2742737669

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